Les Purificateurs des Énergies ambiantes

Des senteurs pour assainir votre ambiance psychique et mentale en chassant toute vibration par trop lourde et indésirable… Voici donc :

La sauge blanche séchée, présentée en petit fagot. Les Chamanes d’Amérique centrale et du Sud ont coutume de dégager les lieux de toute influence nocive avant d’attirer des forces de guérison ou de contact avec les Plans plus élevés. À présent, ce procédé est connu de toute notre planète. Aussi, faut-il enflammer le bout du fagot de sauge blanche séchée et parcourir une pièce ou toutes les pièces de la maison en laissant les fumigations pénétrer l’atmosphère. Cet usage est recommandé pour purifier les Cabinets de Thérapeutes (soins divers liés à des méthodes multiples de guérison, l’Ostéopathie incluse) entre deux patients de manière à ce que le thérapeute et le patient qui suit n’aient à gérer les miasmes laissés. Ceci est recommandé, en outre, pour purifier les lieux avant les rituels et la méditation. Les fumigations de la sauge blanche s’attaquent aux vibrations très denses, émanant du corps physique/éthérique et à celles qui envahissent ce Plan (entités éthériques). Elles libèrent le mal être physique.

Le palo santo ou « bois saint » (en espagnol) issu d’arbres poussant en Amérique du Sud. Ses émanations, lorsqu’un bout de ce bois est passé à la flamme, nettoient littéralement l’ambiance occulte et préparent « l’espace » pour toute autre pratique magique et spirituelle. Les Chamans Incas l’utilisaient et aujourd’hui, dans le monde entier, on le brûle à toute occasion purificatrice, notamment dans les Cabinets de Thérapeutes à l’ouverture, entre chaque patients et à la fin des consultations. Ses fumigations clarifient et tonifient notre double éthérique ; ceci explique ses pouvoir sur la santé. À brûler le matin pour commencer la journée et le soir pour préparer une douce nuit.

L’oliban, une gomme résineuse que produit une espèce particulière de genévrier que l’on trouve en Arabie et dans quelques pays d’Afrique, tels l’Éthiopie et le Soudan. Ses fumigations appellent des Êtres invisibles bénéfiques pour protéger notre environnement. Il convient de mettre quelques grains sur un charbon ardent et de laisser diffuser les bonnes vibrations ainsi déclenchées pour créer un « espace » de repos, de lecture et de méditation.

L’encens pontifical qui est de l’Oliban traité avec des substances végétales odorantes qui exaltent ses spécificités. Il est utilisé, comme vous le savez, pour tout rituel de Magie Divine car ses fumigations particulières élèvent très fortement les vibrations ambiantes et, tout en attirant des Forces de Lumière, elles agissent sur la structure subtile de l’opérateur. Ce dernier peut plus facilement se lier à son Soi Divin.

La lavande séchée dont les fumigations, liées à celles de l’Oliban (Oliban simple ou Pontifical) créent immédiatement l’ambiance propice à la Manifestation des Énergies si particulières de la Mère Divine. Ceci explique pourquoi il est utilisé dans le Rituel d’Aset (cf. le livre « La lumière sur le Royaume ou Pratique de la Magie Sacrée au quotidien » d’Alexandre Moryason). On peut en exalter le pouvoir en l’alliant à une ou deux gouttes – mises sur la nappe de l’Autel - d’Huile essentielle de Rose… mais celle-ci est très onéreuse.

Le Benjoin ou styrax et une résine issue des plante de la famille des styraxés. La couleur indique sa provenance mais quel que son pays d’origine, ce baume fait merveille lorsqu’il est brûlé pour chasser « les parasites mentaux » qui perturbent nos pensées et embrument notre clarté mentale. Ses fumigations sont recommandées pour ceux qui étudient, ont des problèmes de mémoire ou sont rongés par des idées destructrices, celles-ci résultant de l’influence d’entités néfastes (invisibles mais pourtant bien présentes). À brûler lorsque l’on commence un travail intellectuel ou lorsque l’on se sent basculer dans un gouffre dépressif, hanté d’idées noires. 

Nous vous proposons du styrax de Sumatra, d’excellente qualité, qui se reconnaît par sa couleur gris clair.

Celle-ci est une gomme résineuse produite par un arbre poussant notamment au Yemen d’où elle était importée -et l’est toujours- en Arabie et de là, vers tous les pays du monde. Les Égyptiens la connaissait depuis plus de quatre millénaires et l’utilisaient pour les embaumements. Elle était, chez les Hébreux, une des composantes essentielles de l’huile sainte des onctions sacrées. Elle fut apportée par un des Rois Mages en visite au berceau de Jésus, ainsi que le rapporte l’Évangile de Mathieu (chap. II-11).

Cette résine, par sa capacité à condenser, à retenir en charge, la Force Divine la rend donc précieuse car cette dernière a la faculté de calmer la souffrance : on proposa de la myrrhe mêlée à du vin à Jésus lors de son supplice afin d’atténuer ses douleurs, comme nous le précise l’Évangile de Marc (chap. XV-23). 

Il était dit aussi que cette même Force avait la capacité de susciter l’amour par l’éveil des « feux internes » afin de faciliter l’union des êtres dans le but d’élever la Conscience vers l’Esprit : il s’agit de la pratique du « Tantrisme de la Main Droite » ou « Union Divine » et pas de la simple satisfaction de l’appétit des sens. 

Les Grecs et les Romains connaissaient bien le pouvoir des fumigations de la Myrrhe, toutes particulières, assez âcres mais puissantes, pour « l’ Évocation des Dieux ». 

Brûler des grains de Myrrhe, ou plutôt de tout petits morceaux, convient :

• pour apaiser les souffrances (dans la chambre d’un malade). On peut la mélanger, réduite en poudre, à une huile végétale (d’Argan ou de coco) et charger celle-ci, par la prière et autre procédé, de la Force Divine, puis oindre aussi bien un malade ;

• pour bénir et appeler la protection, par onction, sur un enfant ou toute personne pour laquelle on souhaite le plus grand bien. 

Il s’agit vraiment d’une huile sainte. 

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